lundi, mai 23, 2005

De vieux journaux.
De vieux carnets.
C'est un peu comme un cimetière quand il n’y a personne. Ce n’est pas un parfum de mort qui flotte. C’est le calme. La paix.
Par dessus les tombes, les arbres sont longuement bercés par le vent. Le soleil de printemps réchauffe la pierre des tombes, on aurait envie de s'y allonger pour dormir un peu.
La vie est toujours là.
Et ce qui est parti est ailleurs.
Comme en amour.

dimanche, mai 15, 2005

Je ne suis pas celui que je pourrais être.
Ca fait saigner tout ces à peu près.