mardi, septembre 03, 2002

Je baille. C'est terrible ce matin comme je suis fatigué. Mon café fume tranquillement à coté de mon clavier.
Je regarde mon ecran d'un air vide, je me sens un peu sec.
Chronique du rien, j'ecris en silence pendant que mon inspiration est encore au lit... chuuuuttt.
Les malheurs sont bruyants, malpolis et violents. Les bonheurs se sont cachés pour avoir la paix. Quel fatigue de devoir chercher.
Je baille.