vendredi, novembre 29, 2002

Un plongeon dans la sensualité du monde.
Toucher un corps comme un mobile au-dessus d’un berceau.
Voir des étoiles.
Entendre une douce musique.
Sourire béatement.
Toucher un corps comme tendre ses mains au-dessus d’un feu.
Sentir la chaleur.
Perdre son regard dans les flammes.
Se brûler.
Toucher un corps comme on caresse un rêve.
Tenir ce sentiment d’irréel.
Embrasser comme on s’embrase.
Oublier après le réveil.


Retourner dans le Val sans retour.
Remercier celle qui vous impressionne,
non pas parce qu’elle est intimidante mais parce qu’elle est intimidée.
Parce que la joie se cache sous son écriture.
Et qu’elle va la trouver.
Là et partout ailleurs.