jeudi, décembre 12, 2002

Une petite danse.

Les chroniques variables sont les chroniques d’une lutte.
Dans un sens, je suis en paix avec mes maux.
Arrêter de se battre n’implique pas forcement un renoncement, c’est une erreur que j’ai longtemps commise.
Quant arrive le découragement, l’épuisement puis le désespoir, la solution la plus évidente semble la rédition – mettre fin à ses jours ou vivre comme un mort vivant. – solution simple à un problème compliqué.

Solution parfaite… sauf que.

Sauf que le désespoir c’est un espoir qui attend encore et encore.
Sauf que dire qu’on veut en finir c’est dire maladroitement que l’on veut vivre et être heureux mais que l’on est à bout de patience, à bout de force, à bout de souffle.
Sauf que ce n’est pas avec la vie qu’il y a un problème.

Il faut juste en finir avec ce qui ronge son âme et laisser repousser.
-Ca repousse toujours-

A la question comment faire ? je répondrais humblement ceci :
C’est une valse.