lundi, avril 07, 2003

Quelques mots pour Marylène, parce que.

Dans le hameau sans âme,
Un chien hurle à la lune,
Des fumerolles s’accrochent aux cheminés,
Les villageois assoupis s’absentent,
Et leurs rêves s’asphyxient l’air de rien,

Pendant ce temps,
Pendus au temps,
Les hiboux s’abritent dans les arbres,
En vieux veilleurs immobiles.
Et la nuit dort dehors.


Et puis aussi un grand merci à Dreu.

sur ce, je vais me boire un p'tit café.