jeudi, juin 26, 2003

Il est fort amusant (ou très triste) qu’un marivaudage tourne à la farce, puis se transforme en comédie de boulevard avec la femme cocue, l’ex-amante et le mari volage.
Après beaucoup de bruit pour rien, certains protagonistes s’en vont sans le moindre mot d’excuse et n’en ressortent pas grandis. Sans juger, gageons que la tristesse de ce genre de relation est la récompense de leur médiocrité.
Et voilà une histoire de méprise qui devient une histoire de mépris, alors bon vent, âmes en peine.