lundi, octobre 27, 2003

Goûter aux vertus du silence c’est tour à tour un enfer puis un délice.
Je m’éloigne suffisamment pour avoir droit au manque puis au calme.
Pause terminée, il n’est plus l’heure de me prélasser loin de moi, loin d’Uther, loin de vous loin d’ici. Je reviens aux mots pour de vrai, pour de bon, pour rien tous les jours.
Bientôt, aussi, retour au travail routinier c’est sûr, mais.

Mais cette fois, la volonté est là et le chemin est ouvert. Les premières lignes d’un livre couvent et qu’il faille deux cents pages ou deux cents livres je vivrais un jour de et par l’écriture.

Gravé dans la pierre,
l’aimant attire le faire.