lundi, novembre 03, 2003

Je peux te sentir à l’intérieur de moi, à travers les mots que je prononce, il y a ta marque dans mon souffle.
Je devine que tu es là, il y a ton emprunte dans chaque idée qui me traverse, dans chaque pensée qui me hante.
C’est toi ma tragédie, c’est toi le funeste destin qui me condamne.
Pourrais-je te pardonner pour l’amour que tu me donnes ?
Pourrais-je t'aimer au point de te blesser à mon tour ?
Si seulement j'avais le pouvoir de te faire mal.