samedi, février 07, 2004

Des débris de relations, éparpillés sur le sol.
Des traces d’âme qui maculent les murs.
Le plafond éventré, à trop regarder vers le ciel.
Paupières fermées qui laisse à peine filtrer la lumière.
Des espoirs dans la pièce du fond, attendant de se réincarner.
Trop d’amours en ruine.
Et jamais assez de travaux à prévoir.