jeudi, février 12, 2004

Sous la toile il y a un cirque. Pour certains le plus grand chapiteau du monde.
En guise de fanfare, une cacophonie d’états d’âme. Beaucoup de clowns, plus ou moins tristes. Quelques lions un peu maigres qui ne rugissent plus beaucoup. Des idées contorsionnées, des numéros attendus.
J’aime bien ce monde pour ses moments de grâce. Les roulements du tambour avant les sauts sans filet. Ces idées qui viennent quand je me balade entre les roulottes, les jongleurs et la funambule.
J’aime aussi les lanceurs de couteaux et les dresseurs d’un contre les autres, ils ont leur place.

Approchez, mesdames et messieurs, venez admirer une incroyable réplique de la société,
du spectacle.