dimanche, avril 18, 2004

Ton âme est lumineuse et aérienne, comme la brise sur la cime d’arbres centenaires.
La paix que tu recherches, ce courage, cette insouciance, elle existe quand tu remplaces ton regard qui réfléchit par celui qui aime.
Essaye encore d’avoir ce regard là sur toutes choses, celui du père qui regarde ses enfants jouer dans le square par une belle journée de printemps. Celui de l’éperdu sur l’ange assoupi au creux des draps frais. Celui du poète sur le ciel.

Il y a bien moins de mots pour le bonheur que pour la peine, quelle injustice.