mercredi, février 16, 2005

Ambiance mouillée sur le pavé des villes,
Ruelles d’ombres où les pensées défilent,
Ouvrir des voies au fond des impasses,
Vite écrire avant que tout ne s’efface,
Abîmer mon regard en cherchant des sourires,
Sous tant de murs gris abritant des empires,
Il y a des nuages construits au-dessus des tours,
Des chemins pour l’âme aimant les détours,
Fin de la balade sous un coucher de soleil,
Un ciel parcheminé, un autodafé du ciel.