mercredi, avril 12, 2006

C'est un peu comme le plafond qui se lézarde.
Et sous les ors, voilà qu'apparaissent les traces d'une histoire déjà connue.
C'est quant on est désargenté qu'on s'attache au clinquant d'un amour.
Je n'ai pas le coeur à voir notre histoire qui s'écroule, ni l'envie de t'arreter dans ton entreprise.
C'est inutile d'aimer pour deux, ça, je n'ai pas oublié.
Ca fait quoi mon amour de dire je t'aime pour se débarasser ?
De faire si bien semblant qu'il t'arrive même de douter ?
J'hésite puis je m'incline,
Un amour crepusculaire, c'est déjà beau comme un souvenir.